LES COLLECTIFS UNIS

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Petit grain de sable

Braises : résidus ardents issus de la combustion

Braises : résidus ardents issus de la combustion Collectif Santé Saint Nazaire SAVE THE DATE – Conférence de Presse -11 JUILLET – 15h – Paris  SOUDAIN L »ETE DERNIER… Juillet 2021 : les manifestations contre le pass se déploient en attendant que le conseil constitutionnel se prononce contre le Pass le 5 Août. Moins d’1 an après que sont devenus les manifestants ? Leur situation actuelle ? Leur détermination ? Un élément de réponse avec la définition suivante… Braises : résidus ardents issus de la combustion. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

La canicule vue par les professionnels suspendus?

La canicule … …VUE PAR LES PROFESSIONELS SUSPENDUS C’est cuit pour une réintégration! Dessin par KREATURA Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

Conférence gesticulée: Notre santé, un pognon de dingue

Notre santé, un pognon de dingue Conférence gesticulée présentée le 29 juin à Montélimar Par chistelle et thierry du collectif l’ardeur, vous trouverez le lien vers la vidéo sous l’affiche Dessin par KREATURA LIEN VERS LA VIDEO La vidéo commence vers 2 minutes. « Notre santé : un pognon de dingue », conférence gesticulée suivie d’undébatComment notre santé est devenue un enjeu financier ? C’est le thème decette conférence écrite et présentée par Christelle et Thierry Rouquet duCollectif l’Ardeur, présentée le 29 juin à Montélimar. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

FESTIVAL UNIS’SON

festival unis’son Organisé par UNIS 26/07 Rassembler, créer du lien en musique et pour tous en soutien au suspendus interwiew des organisateurs Dimanche 26 Juin, un festival musical au nom d’Unis’sonsMais pourquoi nous diriez vous ?Et bien pour en savoir plus, vous avez rendez-vous ce dimanche à Quintenas, pour un festival pleins de belles choses et recréer du lien.Mais bien sur, vous connaissez l’adage, écouter la tartine juste ici ! Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

Covid-19 : Les effets secondaires camouflés

Covid-19 : Les effets secondaires camouflés article de Info du jour « Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ? »  Covid-19 : Les effets secondaires camouflés 21 juin 2022 – 14:22 par Infodujour « Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ? » Une tribune signée par plus de 850 professionnels de la recherche, de la santé et du droit. Laurent Mucchielli Par Laurent Mucchielli* Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) tenait une audition publique de clôture de ses travaux « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ». Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19. Aucune explication Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois « voix critiques » contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse (« la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc. »). Mais surtout, alors même que son règlement l’autorisait à les rendre publics, l’Office a choisi de conduire ses travaux sous forme d’auditions privées, un format très contestable s’agissant d’une question majeure touchant à la santé de tous les Français. Ainsi, les auditions qui se sont déroulées de mars à mai 2022 ne seront jamais rendues publiques. Pourquoi ? Certaines auditions gêneraient-elles ? Le public ne serait-il pas en mesure de les entendre ? De les comprendre ? Aucune explication n’est fournie par l’Office. Des éléments particulièrement alarmants Trois personnes dont les auditions ont été ainsi rendues quasi secrètes (Mme Christine Cotton, biostatisticienne, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille) ont pourtant demandé à pouvoir faire part de leurs travaux pendant l’audition publique du 24 mai dernier. Peine perdue. Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, elles ont trouvé portes closes. La sommation interpellative qu’elles ont fait délivrer au président de l’Office, M. Cédric Villani, fera toutefois date et il ne sera plus possible aux membres de l’Office de prétendre « qu’ils ne savaient pas ».Pourtant, ce que ces personnes avaient à dire est essentiel pour l’information impartiale du public, sans laquelle on ne saurait parler de « consentement libre et éclairé » à la vaccination.Leurs travaux révèlent en effet des éléments particulièrement alarmants.Ils montrent d’abord d’importants problèmes méthodologiques dans les essais cliniques ayant conduit à l’Autorisation d’Urgence dès décembre 2020. Ainsi, les manquements et les biais de l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer rendent ses conclusions peu fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, faussant l’évaluation du rapport bénéfice/risque. Environ 30.000 décès en Europe Ils notent ensuite une opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ouvertes ni au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française. En particulier, la méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention de données complètes. Il convient, en outre, de garder à l’esprit que seuls entre 1% et 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.Enfin, des chiffres de mortalité alarmants ressortent des bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) qui font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin. En outre, ces bases de données font état de 1 788% d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus, plus de 60% de ces effets indésirables graves survenant le jour même de la vaccination. Rendre les auditions publiques C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et professionnels du droit demandons solennellement à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques de rendre publiques l’ensemble des auditions effectuées pendant les travaux de l’Office sur « les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance », par vidéo et par retranscription écrite. C’est à la fois un droit et un devoir en démocratie que de mettre à disposition des citoyens et de leurs élus la totalité de l’information disponible, et non simplement la partie qui arrange le gouvernement. *Laurent Mucchielli, sociologue, est directeur de recherches au CNRS. Il est notamment l’auteur de « Violences et insécurité : fantasmes et réalités dans le débat français » à la Découverte, et de « La Doxa du Covid » aux éditions Éolienne.Cette tribune publiée dans le magazine Quatier Général est republiée ici avec l’aimable autorisation de l’auteur. Les 850 premiers signataires Laurent Mucchielli, Directeur de recherche au CNRSEmmanuelle Darles, Maître de conférences des universitésVincent Pavan, Maître de conférences des universitésChristian Velot, Généticien moléculaire, Université Paris-SaclayElise Carpentier, professeur de droit public à Aix-Marseille UniversitéHélène Bidaut-Palma, Maître de Conférences à Aix-Marseille UniversitéSandra Silvia Negro, PhD BiologieJean Soldini, PhD, HDR, philosophe et historien de l’artAlain Mahé, Maître de conférences à l’EHESS, ParisRené Guénon, Enseignant-chercheur, microbiologie environnementaleMichel de Lorgeril, Médecin et chercheur au CNRSGeneviève Massard-Guilbaud, Directrice d’études à l’EHESSEric Mercier, Professeur des Universités en planétologie et géodynamiqueMarc Henry, Professeur des Universités émériteRaoul Huys, chargé de recherche CNRSBoris Kolev, Directeur de recherche au CNRS, ENS Paris-SaclayFrançoise Bloch, Socio-anthropologue CNRS, retraitéeOlivier Albagli, Chargé de recherche au CNRSThomas Fernique, Chargé de recherche au CNRSClaude Roux, Directeur de recherche honoraire au CNRSCaroline Petit, Chercheuse au CNRSAurore Schmitt, Directrice de recherche, CNRSNicolas Sembel, Professeur des Universités (70) sociologie de l’éducationAndré Quaderi, Professeur des universités en psychologieArthur Balana, Ingénieur d’études, instrumentation physique, Université de BordeauxEvelyne Fargin, Professeur émérite Université de

Manipulation médiatique

Manipulation médiatique Place aux artiste si BFM…le dit! Dessin par KREATUA Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

7 Mois déjà

7 mois … dans le silence même les syndicats sont devenus muets! Dessin par KREATURA Aujourd’hui, la population peut de nouveau « respirer » sans masque ni passe. Mais dans un silence abject,l’obligation  »vaccinale »  pour les soignants est maintenue.Depuis le 15 septembre 2021, les agents hospitaliers et les médicaux et paramédicaux libéraux, qui ont refusé de se soumettre à l’obligation « vaccinale », ont été suspendus sans salaire ou interdits d’exercer, sans possibilité de travailler ailleurs, sans indemnité chômage, sans RSA pour beaucoup, sans droit à formation, bref sans aucun revenu ni possibilité d’en avoir.Pour rappel, le préambule de la Constitution de 1948 prévoit que « Chacun a le devoir de travailler et le droit d’obtenir un emploi. Nul ne peut être lésé, dans son travail ou son emploi, en raison de ses origines, de ses opinions ou de ses croyances ».La loi dite Kouchner de 2002 parle du consentement libre et éclairé du patient face à un soin (et cette injection est un soin : « médicament »).Nous vous invitons à prendre connaissance des articles 1, 2, 5, 10 et 16 de la convention d’Oviedo, ainsi quedes articles 1, 2, 5 et 7 du Code de Nuremberg (« Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel ;).Rappelez-vous : au printemps 2020 lors de la 1 ère vague, nous sommes allés « au front », sans protection, sanssavoir à quoi nous faisions face, et avons pour cela été applaudis chaque soir, cités en exemple et remerciés le14 Juillet sur les Champs-Elysées, pour ensuite être maltraités et humiliés par cette loi injuste.Le gouvernement a reconnu officiellement que le « ;vaccin » n’empêche ni l’infection ni la contamination, et que les passes n’ont pas limité la propagation du virus.Les contaminations de soignants vaccinés restent très importantes, et même positifs, symptomatiques et contaminants, ils sont bien souvent contraints de prendre leur poste auprès des patients, alors que nous, non vaccinés négatifs, sommes suspendus et interdits de travailler.Nous ne sommes pas des « anti-vax » comme on essaie de le faire croire. Les soignants ont une culture médicale, ils ont reçu toutes les vaccinations nécessaires à l’exercice de leurs fonctions, parce que ces vaccins étaient sûrs, sans effets secondaires graves pour la plupart (exception faite du vaccin contre l’hépatite B).Mais dans le cas présent, nous parlons d’une injection expérimentale, d’une thérapie génique sur laquelle nousn’avons aucun recul à court, moyen et long terme. Qui a déjà causé près de 4 millions d’effets secondaires dont la moitié graves et 41834 décès rien qu’en Europe (données EudraVigilance au 15/03/2022).Nous voulons informer, alerter, encourager chacun à son niveau et dans la limite de ses possibilités, à fairepression pour annuler cette décision honteuse, la suspension sans salaire, cette décision indigne de notre beaupays, berceau des droits de l’homme, des libertés et de la fraternité. Cette loi du 5 août 2021, que personnen’aurait crue possible ni même imaginable, cette loi honteuse doit tout simplement être abrogée et nous devons pouvoir retrouver nos emplois. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

SLU 30

SLU 30 Association SAVE THE DATE – Conférence de Presse -11 JUILLET – 15h – Paris  Le collectif Santé Liberté Unité (SLU) des soignants suspendus de Nîmes et du gard Ce collectif de soignants suspendus est né le 21 juillet après les annonces gouvernementales du projet de loi du 5 août 2021 sur l’obligation vaccinale des agents des établissements de santé publique ou privée ainsi que le Pass sanitaire pour l’accès à toutes les structures de soins. Ces agents ont été suspendu sans rémunération et sans possibilité alternative ( congés acquis, congé de formation pour reconversion, indemnité chômage). Le 15 septembre 2021 est une date qui a marqué l’histoire, une situation inédite. En effet de nombreuses personnes titulaires contractuelles ou salariées du privé se sont retrouvées brutalement interdit de travailler, sans ressources et sans droits sociaux.  Un vide juridique au plan législatif Ces soignants, administratifs, agents de service technique, médico-sociaux, pompiers, sont plongés dans un vide juridique inédit. La loi du 5 août 2021 est anticonstitutionnel puisqu’ elle va à l’encontre des droits des individus régi par la Convention européenne des droits de l’homme. La Convention d’Oviedo de 1947. Aussi, elle bafoue les droits des fonctionnaires établi par la loi le port de 1983 ainsi que le code de déontologie médicale. Hier applaudi par la population ils se retrouvent aujourd’hui marginalisés et précarisés. Nous dénonçons les pressions que nous avons subi de nos directions qui appliquent complaisamment la loi du 5 août 2021 contraire à l’obligation légale qu’a l’envoyeur de préserver le bien-être physique et psychologique de ses salariés et la prévention des risques psychosociaux, article 4121-1 du code du travail. Les soignants, les agents hospitaliers,les médica-sociaux, quelle que soit la profession, ainsi que les pompiers sont sensibilisés au principe de la vaccination depuis toujours. Nous sommes des travailleurs les citoyens les parents des êtres humains qui défendent fermement nos libertés individuelles et nos droits fondamentaux.  Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Pécédent