LES COLLECTIFS UNIS

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Témoignage
d'une infirmière

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Territoire de Belfort 90

Mission Flash…Toujours suspendus!

Infirmière
Territoire de Belfort 90

Série témoignage 69

Suite à la conférence de presse du 11 juillet. 

Je m’appelle Marie-Line, j’ai 39 ans, je suis mariée, j’ai deux enfants.

Je suis infirmière diplômée d’état depuis 13 ans, dans le Territoire de Belfort.

Interdite d’exercice depuis le 15 octobre 2021 par l’ARS de ma région.

J’étais infirmière libérale dans un groupe de 6 personnes.

J’ai continué à travailler après l’annonce de la pandémie, sans savoir vraiment ce qui se passait, sans protections, moi aussi.

J’avais peur mais il fallait y aller, ça faisait partie de mon métier et nous nous devions d’être auprès de nos patients; les gens

nous applaudissaient, le président nous remerciait sans cesse, les artistes chantaient pour nous je trouvais ça ridicule, surjoué. Aujourd’hui, on n’entend plus personne…

Quand ils ont commencé à parler de « vaccin », le seul et l’unique pour sauver l’humanité qui survivait au covid à 99 %,

je me suis méfiée. Ils évinçaient tous les médecins, professeurs et spécialistes qui proposaient des traitements, ça m’a paru bizarre ; à la TV il n’y avait aucun débat contradictoire, c’était : « le vaccin sinon rien ! ». 

Alors j’ai commencé à faire mes propres recherches, j’ai écouté ce qu’avaient à dire les professeurs qui n’étaient pas invités sur les plateaux de télé, ne serait-ce que pour pouvoir répondre à mes patients qui me poseraient sûrement des questions à ce sujet. 

J’ai vite compris qu’il ne s’agissait pas d’un vaccin en réalité et que les effets secondaires peuvent être graves allant jusqu’au décès. 

Et je voyais la propagande gouvernementale se faisant de plus en plus oppressante, je voyais l’étau se resserrer. 1 dose, 2 doses, pass sanitaire, passe vaccinal, c’était atroce. 

Est arrivée l’obligation vaccinale avec la loi du 5 août 2021, pour moi c’était non, quoi qu’il arrive.

Deux de mes collègues m’ont soutenu dans ma démarche, elles ne comprenaient pas la situation absurde dans laquelle nous nous trouvions ; avec les autres, la situation s’est vite tendue, chacune campant sur ses positions, j’ai senti que je n’étais plus la bienvenue car « non-vaccinée », mais je n’ai pas changé d’avis pour autant, pour moi, c’était de la discrimination pure et simple. 

On ne se fait pas injecter un produit, pour faire plaisir à son patron, à ses collègues ou à ses patients, ou pour boire un café en terrasse ou pratiquer son sport favori, je ne suis pas adepte du suicide collectif, désolée. Je faisais des tests tous les 3 jours et c’était suffisant, je ne mettais personne en danger.

J’ai refusé cette injection pour plusieurs raisons :

– Parce que mon corps m’appartient et que j’ai le droit à la préservation de mon intégrité physique si je le veux et parce que je fais confiance à mon système immunitaire. Qui sont tous ces gens pour vouloir décider à ma place et me dire ce que je dois faire de mon corps et de ma vie ?

– parce qu’il s’agit en réalité de substances génétiques injectables et non de vaccins, des produits expérimentaux en période d’essai clinique jusqu’en 2023/2024, et je refuse d’être un cobaye.

– parce que le consentement libre et éclairé a été extorqué et piétiné et le secret médical oublié. 

La loi dit que le consentement ne doit pas être obtenu sous la contrainte, or, ils n’ont fait que nous contraindre depuis le début, en nous masquant, en fermant les écoles, en nous interdisant de nous déplacer, en nous confinant, en nous interdisant de travailler, d’aller au restaurant, au cinéma ou à l’hôpital sans pass.

– parce qu’ils ont interdit aux médecins de soigner librement leurs patients et de s’exprimer.

– parce qu’il existe des traitements qu’ils ont interdits et cachés à la population.

– parce que les effets secondaires explosent et que ceux-là aussi sont cachés sous le tapis.

– parce que je n’ai aucune confiance dans les hommes politiques, ni dans les firmes pharmaceutiques qui financent les

médecins, les journaux, les études scientifiques, ni dans les médias grand public.

Ce qui m’attriste le plus est que nous représentons un corps de métiers tournés vers l’humain, nous ne jugeons personne, ne

discriminons personne et quand j’ai ressenti une telle inhumanité, le mépris, le rejet, les insultes que toutes ces personnes

ont eu envers nous parce que nous n’étions pas dans le sens du vent, je n’ai pas compris. C’était très violent.

Quand le courrier de l’ARS est arrivé j’ai eu l’impression d’avoir commis un crime impardonnable.

Je ressens de la colère et un profond sentiment d’injustice, d’autant plus qu’on sait aujourd’hui que cette injection

n’empêche ni la transmission, ni la contamination et que des soignants positifs au covid vont travailler auprès de personnes

âgées et de malades, que d’autres ont refusé la 3e dose et sont toujours en poste faute de personnel.

Où sont la médecine, la santé et la science dans tout ça ?

Ils ont aussi injecté ce produit à des femmes enceintes et des enfants, et ça, c’est inacceptable.

Aujourd’hui, je suis en reconversion professionnelle. J’ai trouvé un travail dans une grande surface, ce n’est pas facile mais

j’assume. Je préfère cela à l’injection. 

Et je rencontre des personnes formidables par la même occasion. 

Je paye toujours les charges liées à mon ancienne activité alors que j’ai perdu plus de la moitié de mon salaire et que je n’ai pas revendu ma patientèle à ce jour.

Ils ont oublié dans cette histoire que je ne suis pas juste une infirmière ; je suis aussi une maman, une épouse, une fille, une

sœur, une femme et surtout un être humain libre et autonome dans ses choix, et je le restera. 

 

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