Témoignage d’une aide soignante
Témoignage d’une aide soignante Ardèche 07 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide soignante Adèche 07 Les cagnottes Série témoignage 54 Témoignage audio
Témoignage d’une aide soignante Ardèche 07 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide soignante Adèche 07 Les cagnottes Série témoignage 54 Témoignage audio
Témoignage d’une aide soignante Hérault 34 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide soignanteHérault Les cagnottes Série témoignage 53 Témoignage audio Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Pécédent
Témoignage d’une Infirmière Ardèche 07 Mission Flash…Toujours suspendus! InfirmièreArdèche 07 Les cagnottes Série témoignage 52 Témoignage audio Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant
Témoignage d’une psychologue Région Parisienne Mission Flash…Toujours suspendus! Psychologue Région Parisienne Les cagnottes Série témoignage 51 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Il se trouve que j’ai un cancer, incurable. Pour éviter que la maladie ne soit aggravée par une quelconque comorbidité, je dois prendre soin de ma santé au mieux (sport, alimentation, etc.) et espérer que le cancer n’avance pas trop vite. Mon bon vieux médecin, qui me suit depuis de longues années, m’a fortement déconseillée le « vaccin » contre la covid afin de ne pas prendre le risque de déstabiliser mon organisme et, ainsi, d’éviter que le cancer ne s’accélère. De ce fait, j’ai rapidement pesé les bénéfices et risques que ce « vaccin » comportait pour moi et j’ai décidé, en âme et conscience, de ne pas subir l’injection. Cela faisait 13 ans que je travaillais, sans compter, pour l’hôpital en tant que psychologue. J’étais fière de travailler pour le service public, fière d’appartenir à cet hôpital qui m’a vue grandir. Malgré les conditions salariales misérables (10€/h en début de carrière, 15€/h avec 13 ans d’ancienneté pour un bac+5), malgré les maltraitances institutionnelles régulières, je tenais le cap. J’étais très engagée, à la fois dans mon travail clinique auprès des patients, mais aussi au niveau institutionnel. Mes évaluations annuelles par ma chef de service étaient toujours très élogieuses. Formée au psychotrauma, au tout début de la pandémie, on m’a demandé de monter un dispositif de soutien aux soignants. J’ai travaillé sans rechigner (60 à 70h / semaine). Dès mars 2020, ce dispositif a proposé des binômes infirmier / psychologue se relayant sur des plages horaires variées (jour et nuit) pour aller soutenir les soignants au front. Il fallait trouver une douzaine de psychologues pour faire fonctionner ces permanences. Il m’a paru évident que je devais en faire partie et, la trouille au ventre, j’ai fait le choix d’aller au front, c’est-à-dire de me rendre dans les services où le virus était présent. Mes collègues psychologues du service où je travaillais à la base ont fait le choix de rester confortablement chez elles parce qu’elles avaient trop peur d’attraper ce foutu virus. Bien évidemment, nous étions payés de la même façon. La fonction publique, c’est ça aussi : le fait qu’on soit engagé n’est pas récompensé. Sauf que je n’aurais pas pu me regarder dans la glace le matin en me disant que je n’avais rien fait dans cette pandémie. Mon engagement a été plus fort que ma peur. Juillet 2021, bouleversée par ces mois que je venais de vivre, j’ai décidé de changer de poste pour me rapprocher davantage des soignants, en collaborant avec eux sur le terrain : j’ai décroché un poste dans le service de réanimation, toujours dans le même hôpital. Dans la foulée, le gouvernement a voté cette loi qui imposait la vaccination aux soignants. Je ne pouvais y croire, je n’arrivais pas à mentaliser ce que cela signifiait pour moi concrètement. Croyant toujours, à cette période, à la bienveillance de nos instances gouvernementales, appuyée par mon médecin, j’ai écrit à l’Assurance Maladie afin d’avoir une dérogation pour éviter de subir l’injection et de pouvoir, malgré tout, continuer à travailler. Il a fallu des semaines d’attente et plusieurs relances de ma part pour qu’on me réponde, au final, que je devais me faire « vacciner » malgré les contre-indications de mon médecin… J’avais alors un choix très clair à faire : ne pas prendre de risque pour ma santé ou perdre mon travail… Cela paraît tellement évident, à présent, de savoir quel est le juste choix à faire ! J’ai honte d’avouer que j’ai pu hésiter… Ce n’est même pas un instant que j’ai hésité mais ce sont sur plusieurs semaines que j’ai tergiversé. Heureusement qu’un ange bienveillant a croisé ma route et m’a dit tout simplement : « Mais enfin, Isabelle… ». Je ne la remercierais jamais assez. Le 21 septembre 2021, j’ai été fusillée, à bout portant… Pourtant, je le savais que ça allait arriver. Ce jour-là, j’avais pris rendez-vous avec mon futur chef de service pour lui annoncer que j’allais être suspendue et que je ne pourrai intégrer son service. J’étais infiniment triste de devoir renoncer à un poste qui me paraissait passionnant, plein de challenges à relever. Cet homme, médecin de son état, a passé une heure à m’exploser la tête en me disant que j’allais finir en réa en tant que patiente (et non pas en tant que psychologue !), que j’allais mourir puisque je n’acceptais pas cette injection qui était une « bénédiction », que j’allais laisser 2 orphelins sur le bord de la route, que j’étais inconsciente, que je n’avais pas le droit de le laisser tomber, etc. Je ne pouvais plus parler, je ne pouvais plus réagir (il aurait été judicieux que je parte rapidement de son bureau), j’étais pétrifiée et me suis laissée maltraiter pendant une heure. Je suis sortie en état de choc, comme assommée, me perdant même dans les couloirs de cet hôpital que je connaissais si bien… Dans la foulée, j’avais rendez-vous avec le DRH qui m’a annoncé ma suspension officielle. C’était tellement injuste, abject, violent. Cependant, le DRH est le seul être humain de cet hôpital qui a fait preuve d’un brin d’humanité en me disant qu’il était « désolé de devoir de séparer d’une psychologue de ma qualité ». J’étais tellement assommée par le matraquage de mon ex-futur chef de service que l’annonce de ma suspension m’a presque paru douce. J’ai pu verser une larme et dire tout simplement : « Alors cela signifie que je ne peux plus venir travailler à l’hôpital ? ». Dans les jours précédents, ma chef de service et chef de pôle m’avaient invitée à une petite entrevue pour m’affirmer qu’en faisant ce choix, je « me mettais en marge de la société » et bien d’autres propos culpabilisant au possible. En tout cas, la douleur la plus aigüe que j’ai pu vivre a été le fait que mes collègues
Témoignage d’un médecin en EPHAD Région Parisienne Mission Flash…Toujours suspendus! Médecin en EPHAD Région Parisienne Les cagnottes Série témoignage 50 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Ce témoignage à été retranscrit en partie en voix off au masculin, mais il nous vient d’une soignante ( Médecin dans un EPHAD). Voici le message intégral. Je me suis lancée dans la médecine parce que j’étais profondément touchée et révoltée par la souffrance et la maladie. L’idée de créer une relation sincère et bienveillante dans le cadre d’un colloque singulier avec un patient me séduisait. Je pensais essentiellement au côté relationnel de la profession. Lors de mes études de médecine à Brest puis à Créteil, je me suis sentie rapidement en décalage par rapport aux autres étudiants. Je manquais de confiance en moi, j’avais peu de mémoire. Le monde de la santé m’était finalement étranger. Je n’aimais pas l’ambiance qui régnait dans les hôpitaux. Le milieu hospitalier me semblait hostile et froid. Les chefs de service, le plus souvent inaccessibles et intimidants, m’apparaissaient être pour beaucoup, plus intéressés par les études de cas qui s’offraient à eux que par les patients eux-mêmes. J’ai découvert par la suite mon incapacité à effectuer des soins techniques douloureux ce qui a renforcé mon sentiment de ne pas être à ma place. N’étant attirée par aucune autre profession j’ai poursuivi mes études. J’ai trouvé un poste de médecin généraliste dans un EHPAD parisien en 1993 puis dans des foyers logement en banlieue parisienne et enfin, un poste de gériatre et de médecin coordonnateur dans un autre EHPAD du CASVP au sud de Paris en 1998. J’ai beaucoup aimé travailler auprès des personnes âgées. Le travail en EHPAD est passionnant et enrichissant parce qu’il permet, en plus d’exercer la médecine, d’approfondir des domaines aussi variés que la psychologie, la psychiatrie, la philosophie, l’éthique, la spiritualité et l’histoire de la France et des métiers, à travers chaque parcours de vie. Travaillant dans le public, je n’ai pas ressenti de pression excessive. L’EHPAD qui m’employait avait, lors de son ouverture une capacité de 450 lits. Mes conditions de travail ont toujours été exceptionnelles. Les médecins exerçant sur la maison de retraite étaient tous salariés. Nous étions souvent 2 ou 3 confrères sur les lieux en même temps ce qui nous permettait de travailler en équipe. Les dernières années, cependant, le climat s’est dégradé. Nous avons eu de plus en plus de difficulté à recruter des médecins lorsqu’un poste se libérait à cause du salaire insuffisant et des astreintes de nuit et de WE. L’arrivée brutale du virus Covid au sein de l’EHPAD nous a tous sidéré mais le Centre d’Action Sociale de la ville de Paris a toujours été à même de nous procurer tous les équipements de protection nécessaires. Nous nous sommes toujours sentis soutenus par nos supérieurs hiérarchiques qui nous informaient régulièrement des nouvelles recommandations et des nouveaux protocoles. Le responsable hygiénique du Siège se déplaçait régulièrement dans la structure pour nous apporter un soutien logistique. Pour avoir beaucoup lu sur les vaccins et après avoir découvert les méthodes employées par Bigpharma pour vendre ses médicaments blockblusters, j’avais peu de doute sur le fait que le vaccin Covid-19, qui est arrivé rapidement après le début de la pandémie, était inefficace. J’ai tenté d’alerter ma Direction et mes collègues de travail, de même qu’un médecin de l’ARS venu faire la promotion de la vaccination, et des représentants de l’ARS, sur le peu de fiabilité de l’étude de Pfizer et sur la dangerosité de ce produit. J’ai conseillé au directeur, au directeur adjoint, aux cadres de santé et à mes consœurs d’aller consulter le site de l’ANSM. Plus tard, je leur ai appris que des données sur les myocardites chez les jeunes vaccinés avaient été effacées ! Je n’ai trouvé aucun écho à mes mises en garde répétées qui ont fini par agacer mes collègues. En tant que médecin coordonnateur, je devais défendre la vaccination auprès des résidents et de leurs familles ainsi qu’auprès des soignants, ce que j’ai toujours refusé. Je désirais continuer à exercer mes fonctions pour pouvoir témoigner des effets indésirables que les vaccinations allaient inévitablement provoquer. Je pensais que mon entourage se rendrait vite compte de l’inutilité de ce vaccin et de son rapport bénéfice-risque défavorable. Le CASVP a toujours tenu à obtenir l’accord des personnes âgées ou de leurs représentants avant d’effectuer la vaccination. Je me contentais donc d’accéder aux demandes et de faire la prescription des vaccins sur le logiciel de soins. Les infirmières de l’EHPAD effectuaient les vaccinations. Cette situation a été pour moi, une importante source de stress. Je me suis sentie très isolée et injustement jugée. Le « coup de grâce » m’a été asséné par deux psychologues de l’établissement. Elles m’ont dit avoir été déçue par mon comportement. L’une d’elle m’a demandé de démissionner. Pourtant, en tant que médecin je considérais que mon rôle était de protéger les résidents et les soignants plutôt que de répondre aveuglément aux ordres des Autorités de Santé dont je doutais de l’intégrité. L’annonce du président Macron est tombée comme une sentence. J’ai été profondément choquée par cette décision. Rendre la vaccination obligatoire alors que le « vaccin » Covid 19 était toujours en phase d’expérimentation relevait pour moi du non-droit. Je me souviens avoir parlé lors de réunions, de Dictature. J’ai également évoqué le code de Nuremberg. Pourtant je n’ai obtenu aucun soutien de la part de ma Direction. Lorsque j’ai été reçue par le Directeur de l’EHPAD qui devait me signifier ma suspension, je me suis sentie humiliée : « si vous ne vous faites pas vacciner, vous serez sanctionnée ! ». Quelle faute avais-je commise pour être traitée aussi brutalement ? Il a tenté de nuancer ses propos en ajoutant : « je ne suis qu’un petit fonctionnaire, je ne fais qu’appliquer la loi ». Sur le moment ces mots ont quelque peu adouci l’annonce de mon exclusion. Lors de l’entretien, j’ai dû signer un document. Je l’ai fait sans lire le papier qui m’était tendu tant mon sentiment d’injustice et
Témoignage d’une employée à domicile Quelque part en France Mission Flash…Toujours suspendus! Employée à domicile Quelque part en France Les cagnottes Série témoignage 49 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis suspendue depuis le 15 septembre 2021 en tant qu’employée à domicile parce que j’ai refusé le vaccin ! J’ai vécu sans salaire sans aide juste avec mes économies qui sont passées dans les factures ! Suite à ça en Février 2022 j’ai demandé ma rupture conventionnelle qui m’a été accordée. J’ai touché mon solde de tout compte qui m’a permis de payer mes dettes et de survivre. Suite à ça, j’avais demandé le RSA, je ne l’ai touché qu’en avril 2022 puis je me suis inscrite au chômage que j’ai touché en juin 2022 . Depuis je survis avec 740 euros sur un salaire auparavant de 1400 euros. Je suis en formation AFPA pour une reconversion professionnelle, car à 56 ans aujourd’hui, ils m’ont pris ma liberté, mes droits, mon travail, m’ont privée de pouvoir vivre, privée d’argent !! J’ai dû devoir rebondir pour m’en sortir car personne n’a voulu m’aider. On me disait : « je ne peut rien pour vous, vous êtes suspendue… Allez vous faire vacciner !! » GFDT, avocat, assistante social et prud’hommes: voilà ceux qui m’ont rejetée !
Témoignage d’un aide soignant Essonne 91 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide soignant Essonne 91 Les cagnottes Série témoignage 48 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis Thierry, 58 ans, Aide-soignant en EHPAD (Groupe ORPEA). 91, ESSONNE Ancien agent de maintenance puis réceptionnaire à CARREFOUR en horaires décalés, un licenciement la veille de mes 50 ans m’a donné l’opportunité d’une reconversion professionnelle inespérée : J’ai obtenu un diplôme d’Assistant De Vie aux Familles qui m’a valu un emploi en EHPAD comme auxiliaire de vie. J’y étais le seul homme à l’époque et mon intégration spectaculaire a poussé ma hiérarchie à me proposer une VAE pour devenir Aide-Soignant. J’ai obtenu fièrement le diplôme en juillet 2021, juste un mois avant un discours présidentiel tristement célèbre… Mes entourages amical, sportif, associatif et même familial se sont brusquement délités, cause « pass » et discriminations diverses notamment… Je ne suis pas suspendu : J’ai tenté un droit de retrait (refusé) et suis entré en dépression. Ça m’a valu une hospitalisation pour désintox et un arrêt maladie par un psychiatre… Je maintiens cependant des liens amicaux avec tout mon entourage professionnel (Les résidents et mes collègues me réclament et ma hiérarchie me regrette!) mais étant de surcroît le seul soignant de la résidence a avoir officiellement refusé toute injection expérimentale, je me trouve de fait tout aussi officiellement exclu du système !!! Beaucoup de solitude, donc dans mon entourage immédiat… Je n’ai pas encore désespéré d’aller mieux quand (si) l’appartheid dont nous sommes victimes sera aboli… Auquel cas, je serai l’exception qui confirme la règle : je suis un poil stigmatisé au boulot mais je me sens justement respecté dans mes choix que beaucoup n’ont malheureusement pas les moyens d’exprimer librement, chantage à l’emploi oblige..s
Témoignage d’une technicienne de Laborartoire Carente-Maritime 17 Mission Flash…Toujours suspendus! Technicienne de laboratoire Charentes-Maritime 17 Les cagnottes Série témoignage 46 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis technicienne de laboratoire en secteur hospitalier, suspendue depuis le 15 septembre 2021 pour avoir refusé l’injection d’un produit qui se trouvait et se trouve toujours en phase de test. J’avais demandé ma mise à la retraite pour carrière longue pour le 01 janvier 2022. Celle-ci a été annulée puisqu’il manquait 1 trimestre et 15 jours. (1 trimestre et 15 jours dans la fonction publique ou 2 trimestres dans le privé). J’ai demandé à ma DRH et obtenu une autorisation de cumul d’activité. Une fois mes 2 trimestres validés dans le privé, j’ai dû renouveler ma demande de retraite. Il m’a été imposé de nouveau un préavis de 6 mois. Je pense pouvoir être à la retraite le 01 septembre 2022, mon dossier ne sera étudié qu’à la mi-août ! Si ma demande est acceptée, j’aurais perdu 3 mois et demi de salaire et 9 mois de pension…
Témoignage d’une Aide Médico Psychologique Haut-Rhin 68 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide Médico Psychologique Haut-Rhin 68 Les cagnottes Série témoignage 46 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis AMP de formation, suspendue d un IEM depuis le 15/09. J ai été au RSA jusqu’à peu, vu que je travaille en tant qu AESH depuis mars. Autant vous dire que je changement de salaire est rude mais je fais au final quelque chose qui me plaît énormément et je n’ ai pas besoin. De justifier de quoi que se soit!! J’ai mis aux prud’hommes mon employeur. Beaucoup de colère face à la population qui se laisse diriger dans rien dire, en avalant tout ce qu’on leur dit, plus aucunes réflexions…. Je travaillais dans le 68, dans un IEM avec enfts et ados en situation de handicap moteur. Il fait parti de APF France handicap. Je suis seule dans ma structure a être encore suspendue, les autres ayant pu réintégrées avec un pass de 4 mois! Je me suis jointe à un collectif pour une action commune contre l état au tribunal en octobre 2021 et j ai attenté une action seule aux prud’hommes.
Témoignage d’une infirmière Cher 18 Mission Flash…Toujours suspendus! InfirmièreCher 18 Les cagnottes Série témoignage 45 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis IDE pas encore suspendue mais avec une épée d’amoclès sur la tête, ce n’est pas le virus qui m’a trouvé C’EST moi qui suis allée le chercher pour reprendre mon travail (certificat de rétablissement) c’est une période très difficile à vivre et rien n’est encore résolu, c’est un combat de tous les jours si cette situation perdure il n’y aura bientôt plus un seul soignant ou peu pour assurer l’avenir du soin comme nous l’avons connu…il y aura la médecine à 2 vitesses, et beaucoup de gens vont malheureusement mourir ce qui est déjà le cas.Je prie pour que toute cette folie cesse rapidement ou nous allons vivre des moments très sombres. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant