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ENSEMBLE POUR LA FIN DE L’OBLIGATION VACCINALE COVID 19 ET LA RÉINTÉGRATION DES SUSPENDUS #02

ENSEMBLE POUR LA FIN DE L’OBLIGATION VACCINALE COVID 19 ET LA RÉINTÉGRATION DES SUSPENDUS acte 2 Partagez ce clip vidéo un maximum! #soutienauxsuspendus Les cagnottes #soutienauxsuspendus A ce jour, 6 Janvier 2023, la France est le seul pays au monde à ne pas avoir réintégré les professionnels non injectés. Voici le deuxième clip élaboré à partir des photos envoyées par des citoyens et citoyennes préoccupés par l’avenir des suspendus ou interdits d’exercer en France depuis l’application de la loi du 5 Août 2021.Un grand merci pour toutes ces photos et vidéos touchantes qui montrent une mobilisation certaine. Un grand merci à tous les acteurs qui ont permis une telle production.Se taire c’est laisser faire, faisons entendre nos voix pour toutes celles et ceux qui étaient en première ligne. #soutienauxsuspendus Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu PécédentSuivant

ENSEMBLE POUR LA FIN DE L’OBLIGATION VACCINALE COVID 19 ET LA RÉINTÉGRATION DES SUSPENDUS

ENSEMBLE POUR LA FIN DE L’OBLIGATION VACCINALE COVID 19 ET LA RÉINTÉGRATION DES SUSPENDUS acte 1 Partagez ce clip vidéo un maximum! #soutienauxsuspendus Les cagnottes #soutienauxsuspendus Pendant que des pays réfléchissent à la réintégration des personnels suspendus, le gouvernement français refuse obstinément de l’envisager.  À ce jour, le 16 novembre 2022, certaines professions sont toujours soumises à l’obligation vaccinale Covid 19 imposée par la loi du 5 août 2021.  Pourtant, la promulgation de la nouvelle loi du 31 juillet 2022 abolit définitivement le passe sanitaire et libère certaines professions de cette obligation (comme les métiers de la restauration par exemple).  Pourquoi le gouvernement français décide t-il de maintenir une pression intolérable et injuste, illégitime et discriminatoire sur certains de nos concitoyens ?  Plus aucun argument scientifique ne tient pour justifier encore le maintien de cette obligation aux conséquences désastreuses.  Car les suspendus de toutes professions sont utiles à notre société.  Leur situation nous touche donc tous, directement ou indirectement. Pour ces héros de la première heure qui ont su dire NON !  Pour ces professionnels démunis et maltraités qui ont su garder la tête haute pendant plus d’une année face à l’adversité.  Pour ces citoyens courageux qui ont alerté l’opinion publique au prix de la perte de leur emploi et de leurs revenus.  ENSEMBLE, associations et collectifs citoyens, professionnels suspendus, citoyens éclairés, relayés par des médias indépendants, nous exigeons la fin immédiate de l’obligation vaccinale Covid 19 et la réintégration sans condition des suspendus !  Nous remercions chaleureusement toutes les personnes qui ont contribué à l’élaboration de ce film.  Nous n’avons pas pu intégrer toutes les photos reçues dans ce premier clip, mais pas d’inquiétude, d’autres épisodes sont en cours de réalisation.  Un soutien = un clic, un partage, un commentaire  #soutienauxsuspendus

Accusés levez vous!

Accusés levez vous! 14 mois de suspension Vidéo rappel des faits… https://twitter.com/MXabina/status/1591532169452732423?t=FD3QreFWXa_tbwhtRAor_g&s=09 cagnotte participative à l’éditon du recueil de témoignage

Témoignage d’un aide soignant

Témoignage d’un aide soignant Isère 38 Mission Flash…Toujours suspendus! Aide soignantIsère 38 Les cagnottes Série témoignage 95 Suite à la conférence de presse du 11 juillet.  Je suis employé au sein de l’hôpital public depuis près de 6 ans maintenant. J’ai toujours suivi les procédures et me suis attelé à améliorer l’aspect humain du mieux que j’ai pu. J’étais sur le terrain et je peux vous dire que c’est très compliqué de bien faire quand on nous demande d’en faire toujours plus avec toujours moins.Les moyens mis à disposition du personnel sont dérisoires alors que pour une campagne vaccinal, là pas de problème on met tous les moyens financiers et effectifs nécessaire.Doit on comprendre que ce vaccin va sauver de toutes les maladies ? Qu’il va remplacer l’hôpital ? Je n’ai pas adhéré à l’obligation vaccinale parce que la manière de procéder me paraissait incohérente et brutale et qu’en regardant autour de moi je ne voyais pas cette nécessité. Mon regard porté sur la vie au quotidien et non sur les médias m’a amené à estimer que cette imposition n’était pas juste. Le 15 septembre 2021 j’ai compris que penser par soi même n’était pas bienvenue. J’ai toujours pensé que nous pouvions participer à l’amélioration de la société par la réflexion personnelle et l’initiative. Je l’ai payé au prix fort. Plus fort que si j’avais mis quelqu’un en danger de mort ! Interdit d’exercer, pas de salaire, mis à l’écart de la vie sociétale, injurié, montré du doigt, rejeté..Traité comme un danger pour avoir eu une intuition et une réflexion, pour ne pas m’être lancé à cœur perdu dans la croyance aveugle que les choix gouvernementaux sont parole d’évangile.J’ai au départ juste pris le temps de remettre en question un raisonnement qui ne me paraissait pas cohérent. Cette société est brutale pour ceux qui n’obéissent pas au doigt et à œil. Quelques mois plus tard, je suis finalement et pour la première fois depuis le début de cette pandémie, tombé malade, avec un test positif. Ce qui m’a donné le droit de revenir travailler, refaire partie de la société, être de nouveau accepté. Pendant une durée limitée arbitraire imposée par des décrets. D’abord 6 mois, puis 4 mois sans logique scientifique.A quoi nous sert notre connaissance de la science si on ne s’en sert pas ?Mes anticorps ont finis leur contrat de travail, peut importe qu’ils aient ou non la force de continuer, ils ont été suspendus. Pas de vérification, pas de science. Suspendus c’est la loi ! Non compris, j’ai été rejeté et j’ai bien compris qu’on ne pouvait pas discuter du sujet. « On est pas là pour polémiquer » m’a été répondu, ou alors : » Je ne veux pas en parler ».Je reste sidéré par le fait que nombre de personnes ont douté de cette solution mais ne se sont pas accordé le droit de refuser à cause des violentes répercussions que ce refus causerait. Je me rend compte à quel point beaucoup d’entre nous se sentent obligés d’obéir docilement. J’ai l’impression que nous sommes protocolisés, comme des machines. Je suis néanmoins heureux du choix que j’ai fait et de la lutte que je continue de mener. Les rencontres sont belles et fortes en émotions. Plus le temps avance et plus je suis persuadé d’avoir fait le choix qui était le mieux pour moi. Le choix de douter et d’aller au bout de mes convictions. Je pense qu’obéir aveuglément est dangereux pour la santé. Je remarque que la campagne de vaccination n’a pas été remise en doute alors que le choix de ne pas adhérer l’a été lui, et fortement réprimandé. Pendant que j’étais sur le terrain j’ai vu mes collègues et les patients être positifs au covid. Moi je ne suis plus retombé malade jusqu’à ce jour. On m’a dit que je devais quitter les lieux pour protéger les patients. Pourtant le virus continue de se propager. Les soignants vont travailler positifs. J’en déduis que j’ai été mis à l’écart pour éviter d’être un potentiel danger qui finalement est présent même sans moi. Je dois avouer ne pas comprendre cette logique. Il serait peut être temps de revenir sur nos pas, de remettre en question les choix de ces deux dernières années et de réintégrer ces personnes dont on à tant besoin avant que le système de santé ne s’effondre totalement non ?Nous sommes presque un an plus tard. Enormément de personnes ont souffert de ce produit. Serait il enfin temps de cesser ce qui ne fonctionne pas ?Il est peut être temps de changer de stratégie et tester si les autres propositions fonctionnent mieux ?Nous savons maintenant que ce produit est dangereux pour la santé. Il nous a été imposé comme seule solution pour faire face à une menace qui en fin de compte perdure à cause de cette solution.Et si nous faisions le choix de ne pas nous faire injecter pour voir ce qui se passe ? Et s’il s’avérait qu’en faisant ce choix nous aurions beaucoup moins de contamination et beaucoup moins de symptômes qui apparaissent dans une configuration anormale ? Vous allez me dire qu’avec des « SI » on refait le monde. Oui en effet et peut être qu’il est temps non ? Je tiens à vous signaler que cette obligation vaccinale est née par un SI :Et si on vaccinait tout le monde et que cela faisait disparaître le virus ? Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Pécédent

Participez au clip vidéo de la boulette de papier

Pécédent Participez à la vidéo de la boulette Modalités de participation médias partenaires de l’action soyez créatifs…! Voici le lien vers un tuto pour savoir comment vous y prendre: Envoyez vos clichés à: clip-boulette@rsi.media Si et seulemeny si vous n’arrivez pas à poster sur l’adresse officielle, voici une adresse de secours: rsi.media@protonmail.com Les cagnottes

Témoignage d’une infirmière

Témoignage d’une infirmière Bouches du Rhône 13 Mission Flash…Toujours suspendus! Infirmière Bouches du Rhône 13 Les cagnottes Série témoignage 94 Suite à la conférence de presse du 11 juillet.  Je m’appelle Laura, j’ai 30 ans. infirmière depuis 2015, je ne peux plus exercer depuis le 15 février 2022. Actuellement en disponibilité de l’Assistance Publique des Hôpitaux de Marseille, où j’ai travaillé en réanimation et aux urgences de septembre 2015 à Juin 2021, je vis aujourd’hui à la Réunion après avoir effectué une mission avec la réserve sanitaire dans le cadre d’un renfort Covid-19 en réanimation. J’ai par la suite travaillé en réanimation puis aux urgences à la Réunion jusqu’à la fâcheuse date du 15 février 2022. Dans le cadre de mon activité aux urgences, le vaccin anti-covid m’a été proposé. J’ai alors décidé de me faire vacciner en janvier 2021. Deux jours après l’injection, je présente de la fièvre (entre 40 et 42°) qui ne cesse pas, malgré le paracétamol. Je suis hospitalisée deux jours plus tard. On trouve alors un important syndrome inflammatoire au bilan sanguin, mais aucune explication à ce dernier. La médecine du travail a donc fait un staff me concernant afin de déterminer si je devais avoir la deuxième injection. Il en est ressorti que ce n’était sûrement pas le vaccin qui avait provoqué cela. Faisant confiance aux médecins qui m’entourent, j’accepte de faire la seconde dose. Suite à laquelle je présente encore de la fièvre et une altération de mon état général, mais moins importante que lors de la première injection. Depuis je présente toujours des épisodes de fièvre inexpliqués avec au bilan sanguin un syndrome inflammatoire. Tous ces événements m’ont profondément affectés et aujourd’hui je ne souhaite pas faire la troisième injection. Suite à la mise en place de l’obligation de la troisième dose pour les soignants, j’ai donc été voir un médecin agréé ARS pour demander un certificat médical de contre-indication à la vaccination, mais ce dernier a refusé. Un autre médecin généraliste (qui n’est pas contre la vaccination anti covid je tiens à le préciser) pour qui il était très fort probable que le vaccin soit à l’origine de mes symptômes a accepté de me faire une contre-indication à la vaccination destinée à mon employeur. Je me suis donc rendue à la médecine du travail de l’hôpital de la Réunion avec mon dossier médical, et le certificat de contre-indication. Le médecin du travail a refusé cette contre-indication au motif que mon hospitalisation post-injection n’avait jamais été déclarée comme survenant suite à l’injection du vaccin. La médecine du travail de Marseille a donc jugé important de faire un staff pour savoir si je devais faire la deuxième injection mais n’a pas jugé opportun de déclarer les effets indésirables post injection. Ma cadre sup et mon cadre des urgences de La Réunion ont quand même essayé de faire appel à la direction, mais en vain… De plus j’avais signé un CDD pour décembre 2021, j’ai continué à exercer jusqu’au 15 février 2022 sans contrat, comme la plupart des personnes avec qui je travaillais, l’hôpital n’a donc pas eu besoin de me suspendre, il m’a simplement « RETIRÉE des plannings ». Depuis le 15 février 2022, JE NE PEUX PLUS EXERCER MON MÉTIER, je travaille donc dans des champs de vanille payée au SMIC.

Témoignage d’un directeur régional

Témoignage d’un directeur régional Région Bourgogne Franche Comté Mission Flash…Toujours suspendus! Directeur régionalRégion Bourgogne Franche Comté Les cagnottes Série témoignage 93 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Directeur régional pour une multinationale fabricant et distributeur de matériel médical, j’ai occupé ce poste avec succès dans la division chirurgie et bloc opératoire depuis mai 2002. En août 2021, un mail de la direction soumettait tous les employés de la filiale française à l’obligation vaccinale. Devant mon refus, j’ai été suspendu le 15 sept 2021 puis licencié en janvier 2022. Sans préavis ni indemnités après 20 ans de services reconnus tout au long de ma carrière et jusqu’aux derniers jours. Une partie des produits fabriqués et vendus par la société obtient un remboursement et plusieurs personnes de la société sont en lien avec le ministère de la santé afin d’influencer les décisions de remboursement, ceci peut expliquer aussi en partie la décision d’obligation vaccinale prise en août 2021 pour tous les employés. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Pécédent

Conférence gesticulée:

Notre santéun pognon de dingue:Comment notre santéest devenue un enjeufinancier conférence gesticulée Nantes le 16 octobre 2022 La conférence s’est tenue à Nantes où Christelle et Thierry ont été invités par  le collectif Santé Nantes Christelle vous présente cette conférences: Notre santé : un pognon de dingueChristelle et ThierryCollectif l’Ardeur PARTIE 1 Notre santé : un pognon de dingueChristelle et ThierryCollectif l’Ardeur PARTIE 2 Les cagnottes Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* Pécédent

Témoignage d’une infirmière

Témoignage d’une infirmière Bourgogne Franche Comté Mission Flash…Toujours suspendus! InfirmièreBourgogne Franche Comté Les cagnottes Série témoignage 92 Suite à la conférence de presse du 11 juillet.  Je suis suspendue depuis le 27 Septembre dernier, car n’étant pas vaccinée je ne pouvais plus exercer ni prétendre à l’arrêt maladie car le médecin-conseil a jugé que j’étais inéligible à ce droit car encore une fois je suis une soignante non vaccinée. J’ai 37 ans, je suis infirmière depuis 15 ans et parent de 2 enfants à charge. Il me semble utile de rappeler que cette nouvelle technologie de vaccin est en cours d’expérimentation. D’ailleurs, la science et la médecine commencent à identifier l’existence de perturbations et d’effets indésirables graves à moyen et long terme liés à ces injections. Je ne suis pas antivax!!! J’ai choisi de peser la balance bénéfice/risque, dans la cohérence de mes connaissances et de mes symptômes légers provoqués par le virus de la covid 19 dans mon organisme. Mon corps et ma santé étant devenus pour moi mes priorités, je choisis encore aujourd’hui de me privilégier. Or, je suis contrainte de perdre mon emploi, ma vocation, car j’ai choisi ma santé. Cela est totalement absurde. Alors que la situation se dégrade considérablement dans les hôpitaux français, que mes collègues sont sous pression car la pénurie de soignants est plus que préoccupante, nous ne sommes toujours pas réhabilités dans nos fonctions. Il est important pour moi de dénoncer ce non-sens, en tant que soignante et citoyenne. Nous regardons s’effondrer notre système de santé alors que les soignants suspendus ne demandent qu’à travailler. Après neuf mois d’attente, de compromis et d’abnégation, ma situation demeure précaire. Ma hiérarchie est totalement muette, je ne connais pas d’issue. L’état nous a oubliés en nous niant. Cette situation totalement inédite et inhumaine nous conduit à l’absence de solution. Ma foi, a été mon arme prioritaire dans la traversée de ce désert. Je continue à croire que cette situation malsaine trouve une issue favorable, afin que les citoyens français retrouvent leur souveraineté dans leur liberté de choisir avec discernement. Léa, une infirmière suspendue à son intégrité Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu PécédentSuivant

témoignage d’une éducatrice Spécialisée

Témoignage d’une éducatrice spécialisée Région Bourgogne Franche Comté Mission Flash…Toujours suspendus! Educatrice spécialiséeRégion Bourgogne Franche Conté Les cagnottes Série témoignage 91 Suite à la conférence de presse du 11 juillet. Je suis éducatrice spécialisée dans une Maison Départementale de l’Enfance. Juridiquement nous ne devions pas être appelés à la vaccination obligatoire comme le souligne l’article 12 de la loi du 5 août en article 12.1°) liste des établissements concernés. L’article 12.1°) évoque les établissements médico-sociaux concernés. La MDE n’en fait pas partie car les établissements relevant de l’article L 312-1,1°) du CASF ne sont pas visés par cet article 12.1°. Néanmoins, l’article 12 de la loi du 5 août précise aussi que le nombre de professionnels de santé mentionnés à la quatrième partie du code de la santé publique lorsqu’ils ne relèvent pas du premier du présent article 1 et les personnes travaillant dans les mêmes locaux sont soumis à cette obligation. Ainsi je travaillais dans un service où je côtoyais des collègues auxiliaires de puériculture en titre et c’est ainsi que l’obligation vaccinale nous fut imposée à tous soignants et non soignants à l’exception de deux services composés uniquement d’éducateurs et le service administratif, possédant leurs propres bureaux. Refusant ces injections (1ère fois dans ma carrière car ayant toujours respecté l’obligation vaccinale), je suis convoquée au département en septembre 2021 pour un entretien avec la DRH, l’infirmière de la médecine du travail et deux membres du service de qualité de vie au travail ainsi que notre responsable RH de la Maison de l’enfance. L’entretien fut respectueux et sans jugement de la part de mes employeurs. J’ai donc confirmé que je n’étais pas prête à ce moment-là à recevoir cette injection car je n’avais pas de réponses aux nombreuses questions que je me posais quant à la composition du produit et aux effets indésirables possibles. Nous étions aux alentours du 15 septembre. Après avoir posé mes congés et des temps syndicaux (j’étais déléguée syndicale et je bénéficiais de 25 % de temps syndical), j’ai eu l’opportunité de remplacer une collègue sur un des deux services non concernés par l’obligation vaccinale du 1er novembre 2021 au 31 mai 2022. Mais ce nouveau poste n’était plus en internat, mon salaire a par conséquent baissé considérablement. Ce poste très intéressant au demeurant à nécessité de ma part des heures de travail supplémentaires et beaucoup d’énergie pour m’investir au mieux et répondre aux besoins des enfants et de leurs parents puisqu’il s’agissait de visites accompagnées et de visites à domicile. La situation de stress et d’impasse professionnelle que j’étais contrainte de vivre, m’a profondément bouleversé au fur et à mesure des mois qui passaient. Ainsi à la mi-mai j’ai été arrêtée et je suis actuellement en prolongation de cet arrêt jusqu’à fin juillet. Je sais, car j’en ai été informé, que mon remplacement a pris fin et qu’à la suite de mon arrêt maladie après la pause de mes congés, la suspension prendra effet. Je peux envisager d’autres voies d’orientation mais mon souhait est de pouvoir réintégrer mon poste d’éducatrice à la MDE où j’ai évolué d’auxiliaire de puériculture à éducatrice spécialisée et où j’ai travaillé dans tous les services, de la petite enfance à l’adolescence en passant donc par le service d’accompagnement des familles. Je suis rentrée à la maison de l’enfance il y a 32 ans. Il est très difficile de se voir éjectée de la sorte par une loi liberticide alors que l’ensemble de mes collègues me soutiennent et espèrent que la réintégration des soignants aura bientôt lieu ainsi que l’arrêt de ces doses trimestrielles. Par ailleurs le responsable des ressources humaines à la Maison de l’Enfance m’a rencontré à plusieurs reprises et m’a incité à me réorienter ou à me mettre en disponibilité. En revanche, une personne du département aux compétences de juriste m’a, elle, préconisé de tenir bon en étant suspendu mais de ne surtout pas me mettre en disponibilité. Une avocate consultée courant avril m’a également orientée dans cette direction. Voyez par vous-même comme ces informations sont contradictoires et apportent plus de doute que de confiance. Je me demande souvent où ils veulent nous mener. Par ailleurs je peux vous préciser que cet hiver nous avons pu vérifier à la Maison de l’enfance que cette vaccination n’a pas beaucoup protégé. Plus de la moitié du personnel a eu le covid 19 (énormément plus de cas qu’à l’hiver 2021 où la vaccination n’avait pas encore eu lieu). D’ailleurs j’ai moi-même contracté la maladie sans problème. Les enfants l’ont également attrapé sans aucune complication. La plus jeune avait quatre jours (pupille) et du fait du protocole obligeant à l’hospitalisation lors d’une température supérieure à 38 pour un nourrisson de moins de 7 jours, a été hospitalisée car fièvre à 38°4. Le test PCR de l’hôpital, l’a révélé positive mais elle n’est restée qu’une journée du fait d’un état stable et non inquiétant. Des collègues vaccinées continuent à contracter la maladie et des effets indésirables graves post-vaccination se font jour. Je veux croire que cet état liberticide cessera que les droits de l’homme pourront à nouveau être entendus. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu PécédentSuivant