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Mois : juin 2022

Conférence gesticulée: Notre santé, un pognon de dingue

Notre santé, un pognon de dingue Conférence gesticulée présentée le 29 juin à Montélimar Par chistelle et thierry du collectif l’ardeur, vous trouverez le lien vers la vidéo sous l’affiche Dessin par KREATURA LIEN VERS LA VIDEO La vidéo commence vers 2 minutes. « Notre santé : un pognon de dingue », conférence gesticulée suivie d’undébatComment notre santé est devenue un enjeu financier ? C’est le thème decette conférence écrite et présentée par Christelle et Thierry Rouquet duCollectif l’Ardeur, présentée le 29 juin à Montélimar. Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

FESTIVAL UNIS’SON

festival unis’son Organisé par UNIS 26/07 Rassembler, créer du lien en musique et pour tous en soutien au suspendus interwiew des organisateurs Dimanche 26 Juin, un festival musical au nom d’Unis’sonsMais pourquoi nous diriez vous ?Et bien pour en savoir plus, vous avez rendez-vous ce dimanche à Quintenas, pour un festival pleins de belles choses et recréer du lien.Mais bien sur, vous connaissez l’adage, écouter la tartine juste ici ! Tenez-vous informé de nos publications inscrivez-vous à notre newsletter INSCRIPTION Votre inscription est enregistrée Oups! un problème est survenu Laisser un commentaire Annuler la réponse Connecté en tant que Petit grain de sable. Déconnexion ? Les champs obligatoires sont indiqués avec * Message* PécédentSuivant

Covid-19 : Les effets secondaires camouflés

Covid-19 : Les effets secondaires camouflés article de Info du jour « Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ? »  Covid-19 : Les effets secondaires camouflés 21 juin 2022 – 14:22 par Infodujour « Pourquoi l’Office parlementaire qui enquête sur les effets secondaires des vaccins Covid ne rend-il pas publics tous ses débats ? » Une tribune signée par plus de 850 professionnels de la recherche, de la santé et du droit. Laurent Mucchielli Par Laurent Mucchielli* Le 24 mai dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST) tenait une audition publique de clôture de ses travaux « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ». Et son rapport a été rendu public le 9 juin. Derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a en réalité rendu invisibles certaines interventions portant sur les effets secondaires des vaccins contre le covid-19. Aucune explication Déjà, en n’auditionnant publiquement que trois « voix critiques » contre onze thuriféraires des vaccins, l’Office indiquait un certain parti pris dans l’organisation même de ses travaux, au cours desquels 9 personnes sur les 49 auditionnées proposaient une analyse différente du discours qui inonde les médias depuis le début de la vaccination de masse (« la vaccination est sans danger, elle protège les personnes vaccinées et protège aussi les autres, c’est sûr à 95%, etc. »). Mais surtout, alors même que son règlement l’autorisait à les rendre publics, l’Office a choisi de conduire ses travaux sous forme d’auditions privées, un format très contestable s’agissant d’une question majeure touchant à la santé de tous les Français. Ainsi, les auditions qui se sont déroulées de mars à mai 2022 ne seront jamais rendues publiques. Pourquoi ? Certaines auditions gêneraient-elles ? Le public ne serait-il pas en mesure de les entendre ? De les comprendre ? Aucune explication n’est fournie par l’Office. Des éléments particulièrement alarmants Trois personnes dont les auditions ont été ainsi rendues quasi secrètes (Mme Christine Cotton, biostatisticienne, Mme Emmanuelle Darles et M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille) ont pourtant demandé à pouvoir faire part de leurs travaux pendant l’audition publique du 24 mai dernier. Peine perdue. Bien qu’elles se soient rendues devant le Sénat, le jour même de l’audition, elles ont trouvé portes closes. La sommation interpellative qu’elles ont fait délivrer au président de l’Office, M. Cédric Villani, fera toutefois date et il ne sera plus possible aux membres de l’Office de prétendre « qu’ils ne savaient pas ».Pourtant, ce que ces personnes avaient à dire est essentiel pour l’information impartiale du public, sans laquelle on ne saurait parler de « consentement libre et éclairé » à la vaccination.Leurs travaux révèlent en effet des éléments particulièrement alarmants.Ils montrent d’abord d’importants problèmes méthodologiques dans les essais cliniques ayant conduit à l’Autorisation d’Urgence dès décembre 2020. Ainsi, les manquements et les biais de l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer rendent ses conclusions peu fiables du point de vue des bonnes pratiques cliniques, faussant l’évaluation du rapport bénéfice/risque. Environ 30.000 décès en Europe Ils notent ensuite une opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ouvertes ni au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française. En particulier, la méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention de données complètes. Il convient, en outre, de garder à l’esprit que seuls entre 1% et 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.Enfin, des chiffres de mortalité alarmants ressortent des bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) qui font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin. En outre, ces bases de données font état de 1 788% d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus, plus de 60% de ces effets indésirables graves survenant le jour même de la vaccination. Rendre les auditions publiques C’est pourquoi nous, universitaires, chercheurs, professionnels de la santé et professionnels du droit demandons solennellement à l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques de rendre publiques l’ensemble des auditions effectuées pendant les travaux de l’Office sur « les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance », par vidéo et par retranscription écrite. C’est à la fois un droit et un devoir en démocratie que de mettre à disposition des citoyens et de leurs élus la totalité de l’information disponible, et non simplement la partie qui arrange le gouvernement. *Laurent Mucchielli, sociologue, est directeur de recherches au CNRS. Il est notamment l’auteur de « Violences et insécurité : fantasmes et réalités dans le débat français » à la Découverte, et de « La Doxa du Covid » aux éditions Éolienne.Cette tribune publiée dans le magazine Quatier Général est republiée ici avec l’aimable autorisation de l’auteur. Les 850 premiers signataires Laurent Mucchielli, Directeur de recherche au CNRSEmmanuelle Darles, Maître de conférences des universitésVincent Pavan, Maître de conférences des universitésChristian Velot, Généticien moléculaire, Université Paris-SaclayElise Carpentier, professeur de droit public à Aix-Marseille UniversitéHélène Bidaut-Palma, Maître de Conférences à Aix-Marseille UniversitéSandra Silvia Negro, PhD BiologieJean Soldini, PhD, HDR, philosophe et historien de l’artAlain Mahé, Maître de conférences à l’EHESS, ParisRené Guénon, Enseignant-chercheur, microbiologie environnementaleMichel de Lorgeril, Médecin et chercheur au CNRSGeneviève Massard-Guilbaud, Directrice d’études à l’EHESSEric Mercier, Professeur des Universités en planétologie et géodynamiqueMarc Henry, Professeur des Universités émériteRaoul Huys, chargé de recherche CNRSBoris Kolev, Directeur de recherche au CNRS, ENS Paris-SaclayFrançoise Bloch, Socio-anthropologue CNRS, retraitéeOlivier Albagli, Chargé de recherche au CNRSThomas Fernique, Chargé de recherche au CNRSClaude Roux, Directeur de recherche honoraire au CNRSCaroline Petit, Chercheuse au CNRSAurore Schmitt, Directrice de recherche, CNRSNicolas Sembel, Professeur des Universités (70) sociologie de l’éducationAndré Quaderi, Professeur des universités en psychologieArthur Balana, Ingénieur d’études, instrumentation physique, Université de BordeauxEvelyne Fargin, Professeur émérite Université de

Article du site « le point critique »

Jurisprudence : la vaccination obligatoire contre le COVID et la suspension des soignants jugées illégales ARTICLE DU SITE « LE POINT CRITIQUE » Vaccin expérimental Équipe Le Point Critique | 14 mars 2022   Selon le droit européen, la campagne de vaccination contre le COVID est un essai en vie réelle qui ne peut être imposé à aucun être humain. Ce point avait été rappelé le 13 janvier 2022 sans que le Conseil constitutionnel ne déjuge Emmanuel Macron dans sa volonté d’« emmerder » ceux qui refuseraient de participer à une telle expérimentation. Un tribunal français vient de confirmer le 1er mars 2022 que la vaccination obligatoire est une atteinte aux droits humains fondamentaux. Quelles conséquences pour les Français mais aussi pour le Gouvernement ?  © Tingey Injury Law Firm on Unsplash C’est un énorme caillou qui s’est glissé dans la chaussure d’Emmanuel Macron et d’Olivier Véran le 1er mars 2022 avec cette décision rendue par le conseil des prud’hommes d’Alençon en faveur d’une infirmière salariée d’un Ephad qui refusait de se faire vacciner pour raison médicale : « La législation européenne l’autorisait à refuser ce traitement dans la mesure où à ce stade il doit être considéré comme un médicament expérimental. » Comme le prévoit la loi, elle a donc probablement été licenciée sans percevoir la moindre indemnité, en abandonnant à l’administration ses congés et en renonçant à son droit à bénéficier des minima sociaux, d’un congé de reconversion et de la possibilité d’exercer son métier en libéral. Voici en effet ce que racontait une infirmière anesthésiste à propos des conditions d’éviction des soignants ayant refusé l’injection le 15 septembre 2021 : Exit les applaudissements à 20 heures, bienvenue dans le monde d’après. Les raisons de cette mort économique et sociale sur ordonnance : le refus de prendre le moindre risque pour sa santé après avoir survécu à un cancer au prix de traitements particulièrement lourds. Au-delà du caractère infiniment inique de cette sanction compte tenu de l’incapacité du vaccin à remplir l’objectif au nom duquel ces soignants ont été sacrifiés, on en mesure la profonde perversité lorsqu’on sait que les médecins alertent sur l’explosion des cancers postvaccinaux, notamment la reprise des cancers quiescents, que l’on croyait stabilisés ou guéris. À la faveur du COVID, Emmanuel Macron et Olivier Véran ont donc fait table rase de tous les principes qui régissaient la médecine depuis Hippocrate : la prudence n’est plus une raison pour esquiver une injection expérimentale basée sur une technologie encore jamais utilisée sur des individus sains à des fins de prévention, et encore moins dans le cadre d’une vaccination. Ce que dit le droit européen Pourtant, les instances européennes avaient clarifié un point qui semblait couler de source depuis le départ : l’objectif de la campagne de vaccination mondiale étant de finaliser, en vie réelle, l’évaluation de la sécurité des injections contre le COVID, elle s’apparente à un essai clinique à grande échelle dans lequel aucun être humain ne peut être enrôlé sous la contrainte. Cette formulation peut paraître excessive pour ce qu’elle révèle de l’éthique du chef de l’État et du ministre des Solidarités et de la Santé, mais c’est pourtant la traduction exacte de la réalité à laquelle sont confrontés les Français depuis le 12 juillet 2021. La vaccination contre le COVID est un essai clinique exigeant le consentement des participants selon le règlement [UE] no 536/2014 Le conseil des prud’hommes d’Alençon n’a donc fait qu’appliquer la loi en obligeant l’Ehpad Les Laurentides (Tourouvre-au-Perche) à se mettre en conformité avec le droit européen et en condamnant l’établissement à réintégrer l’infirmière qui contestait la légalité de son licenciement. Comme nous l’expliquions dans un précédent article, la Commission européenne a en effet rappelé, le 13 janvier 2022, le caractère expérimental de la vaccination contre le COVID et l’obligation qui en découle de respecter « les principes des bonnes pratiques cliniques », notamment le recueil écrit du consentement des participants (Directive 2001/20/CE, Art. 3, § 2, e), au même titre que pour « tous les essais cliniques qui relèvent d’une autorisation de commercialisation d’un médicament dans l’UE ». Ce rappel de la Commission européenne faisait suite à une demande d’arbitrage adressée par les Parlementaires, face au déni des autorités sanitaires concernant le caractère expérimental des injections conféré par la conditionnalité de l’AMM et le risque auquel leur inoculation forcée expose les citoyens depuis presque huit mois : « D’après les données de décembre 2021 du site ClinicalTrials.gov des National Institutes of Health des États-Unis, la date de fin de l’étude clinique (phases 1, 2 et 3) estimée par Pfizer/Biontech pour le vaccin Comirnaty est le 2 mai 2023(1), et celle prévue pour le vaccin ARNm-1273 de Moderna est le 27 octobre 2022(2). Selon la même source, cette date est le 14 février 2023 pour le vaccin AstraZeneca(3) et le 2 janvier 2023 pour le vaccin Janssen(4)Compte tenu du fait que ces vaccins en phase d’étude clinique sont sous autorisation conditionnelle de mise sur le marché dans l’Union, la Commission peut-elle confirmer que les dispositions du règlement (UE) nº 536/2014 du Parlement européen et du Conseil du 16 avril 2014 relatif aux essais cliniques de médicaments à usage humain (notamment en ce qui concerne le consentement éclairé) restent applicables aux quatre vaccins susmentionnés tant que les essais cliniques se poursuivent, même après une autorisation de mise sur le marché conditionnelle, conformément au règlement (CE) nº 726/2004 du 31 mars 2004 établissant des procédures communautaires pour l’autorisation et la surveillance en ce qui concerne les médicaments à usage humain et à usage vétérinaire, et instituant une Agence européenne des médicaments ? » Commission européenne, Question prioritaire avec demande de réponse écrite  P-005425/2021 La Commission européenne a donc confirmé le 13 janvier 2022 que le règlement (UE) nº 536/2014 du 16 avril 2014 encadrant les essais cliniques s’appliquait également aux vaccins contre le COVID. Le règlement [UE] no 536/2014 est entré en vigueur il y a plus de sept ans La juridiction française a ainsi pris acte de l’objection fondamentale que le caractère conditionnel de l’AMM oppose à la volonté de vacciner au forceps l’ensemble des Français, quoi qu’il leur en coûte, mais elle a choisi d’aller plus loin que la Commission européenne. De manière surprenante, en effet, la Commission a considéré que le règlement européen du 16 avril 2014 (Règlement [UE] No 536/2014) qui rappelle « les principes des

INFOS UTILES

Infos utiles post vaccination déclarer ou témoigner d’un effet indésirable aprés injection anti covid 19 « SEUL ON VA PLUS VITE, ENSEMBLE ON VA PLUS LOIN » BALTHAZAR DADVISARD Nous contacter: collectifsunis.stop0508@gmail.com Déclarer un Effet Indésirable auprès de l’ANSM suite à la vaccination Covid-19 Témoigner d’un effet indésirable suite à la vaccination Covid-19 auprès de l’association des victimes VERITY FRANCE  Pharmacovigilance Centres Régionaux de Pharmacovigilance pour déclarer directement vos effets indésirables. Envoyez un mail avec tout votre dossier CHU Amiens Sud M. le Dr Kamel Masmoudi Téléphone : 03.22.08.70.96 e-mail : pharmacovigilance@chu-amiens.fr CHRU d’Angers Mme le Pr Marie Briet Téléphone : 02.41.35.45.54 e-mail : pharmacovigilance@chu-angers.fr CHRU de Besançon M. le Pr Siamak Davani Téléphone :03.81.66.84.74 e-mail : pharmacovigilance@chu-besancon.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (24, 33, 40, 47, 64 + Guadeloupe, Martinique, Guyane, Réunion M. le Pr Antoine Pariente Téléphone : 05.56.79.55.08 e-mail : pharmacovigilance@u-bordeaux.fr CHU de Brest (29, 56) Mme le Dr Dominique Carlhant-Kowalski Téléphone : 02.98.34.79.75 e-mail : crpv.brest@chu-brest.fr CHU de Caen / Niveau 3 (14, 50, (61) M. le Pr Joachim Alexandre Téléphone : 02.31.06.46.72 e-mail : pharmacovigilance@chu-caen.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (03, 15, 43, 63) Mme le Dr Marie Zenut Téléphone : 04.73.75.48.31 e-mail : pharmacovigilance@chu-clermontferrand.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (21, 58, 71, 89) CHU Pôle des Vigilances Mme le Dr Anne Dautriche Téléphone : 03.80.29.37.42 e-mail : pharmacovigilance@chu-dijon.frIsère Centre Régional de Pharmacovigilance (38) CHU Grenoble M. le Pr Jean-Luc Cracowski Téléphone : 04.76.76.51.45 e-mail : pharmacovigilance@chu-grenoble.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (59, 62) M. le Pr Régis Bordet Téléphone : 03.20.96.18.18 e-mail : pharmacovigilance@chru-lille.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (19, 23, 87) Mme le Pr. Marie-Laure Laroche Téléphone : 05.55.05.67.43 e-mail : pharmacovigilance@chu-limoges.fr Centre Régional de Pharmacovigilance Marseille – Provence – Corse (04, 13, 84, Corse-du-Sud 2A, Haute-Corse 2B Mme le Dr Joëlle Micallef-Roll Téléphone : 04.91.74.75.60 e-mail : pharmacovigilance@ap-hm.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (11, 30, 34, 48, 66) M. le Pr Jean-Luc Faillie Téléphone : 04.67.33.67.57 e-mail : pharmacovigilance@chu-montpellier.fr CRPV de Nancy – Laboratoire de Pharmacologie Clinique et de Toxicologie (54, 55, 57, 88) M. le Pr Pierre Gillet Téléphone : 03.83.65.60.85 e-mail : crpv@chru-nancy.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (44, 85) CHR Hôtel-Dieu Nantes Mme le Dr Gwenaëlle VEYRAC Téléphone : 02.40.08.40.96 e-mail : pharmacovigilance@chu-nantes.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (83, 06, 05) M. le Pr Milou-Daniel Drici Téléphone : 04.92.03.47.08 e-mail : pharmacovigilance@chu-nice.fr Service de Pharmacologie clinique et Vigilances (16, 17, 79, 86) Mme le Pr Marie-Christine Perault-Pochat Téléphone : 05.49.44.38.36 e-mail : pharmaco.clin@chu-poitiers.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (08, 10, 51, 52) M. le Pr Thierry Trenque Téléphone : 03.26.78.77.80 e-mail : pharmacovigilance@chu-reims.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (22, 35) M. le Pr Eric Bellissant Téléphone : 02.99.28.43.63 e-mail : pharmacovigilance@chu-rennes.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (27, 76) Mme le Dr Nathalie Guillemant-Massy Téléphone : 02.32.88.90.79 e-mail : pharmacovigilance@chu-rouen.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (42) Mme le Dr Marie-Noëlle Beyens Téléphone : 04.77.12.77.37 e-mail : pharmacovigilance@chu-st-etienne.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (67, 68) Mme le Dr Martine Tebacher-Alt Téléphone : 03.88.11.64.80 e-mail : pharmacovigilance@chru-strasbourg.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (09, 12, 31, 32, 46, 65, 81, 82) Mme le Dr Haleh Bagheri Téléphone : 05.61.25.51.12 e-mail : pharmacovigilance@chu-toulouse.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (18, 28, 36, 37, 41, 45) Mme le Dr Annie-Pierre Jonville-Bera Téléphone : 02.47.47.37.37 e-mail : crpv@chu-tours.fr Paris 1 (75001-75015-75016, 92) Mme le Dr Agnès Lillot Le Louet Téléphone : 01.56.09.39.88 e-mail : crpv.hegp.egp@aphp.fr Centre Régional de Pharmacovigilance (77, 94) Hôpital Henri Mondor M. le Dr Hervé Le- Louet Téléphone : 01.49.81.47.00 e-mail : hmn-pharmacovigilance@aphp.fr ANSM. Bonne pratique de pharmacovigilance.  https://ansm.sante.fr/documents/reference/bonnes-pratiques-de-pharmacovigilance Santé Gouv. Comment déclarer vos effets secondaires au niveau national. https://signalement.social-sante.gouv.fr/psig_ihm_utilisateurs/index.html

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