« Collectifs Unis » est né en juillet 2021.

Aujourd’hui il existe une cohésion entre les soignants et les citoyens au sein de « Collectifs Unis » . Tous aspirent à être enfin entendus, écoutés au sujet de l’Obligation vaccinale Covid. Il aspirent à être enfin pris au sérieux, sans être taxé d’Antivax, ou de Complotistes. Les Soignants ne méritent-ils pas d’avoir la parole et d’être entendu sur ce sujet qui les concerne en première ligne? Un débat n’aurait il pas mérité d’être mené entre les Politiques et les « Travailleurs de terrain » ? Beaucoup de citoyens entendent et comprennent la violence qui a été infligée aux Soignants, ils les soutiennent, et les aident au quotidien à vivre cette crise catastrophique : sociale, psychologique, et financière.

L’Obligation « vaccinale » Covid des Soignants, décidée par le Gouvernement au 12 juillet 2021, puis validée et promulguée par la Loi du 5 Août a entrainé presque simultanément la création de nombreux Collectifs et Associations partout en France. En effet, n’ayant reçu aucune écoute de la part de leur Hiérarchie, des Politiques, de la plupart des syndicats et des Médias, les Soignants ont ressentis le besoin de se retrouver. Ils se sont soutenus d’abord localement souvent par structure médicale ou hospitalière, puis par département, et par région. Rapidement et très naturellement cette Union est devenue NATIONALE.

« Nous nous sommes unis entre soignants du Privé et du Public, tous corps de métier confondus : Médecins, Aides à domicile, Aides-soignantes, Sages femmes, Kinésithérapeutes, Ostéopathes, Psychologues, Pompiers,… (Santé et Médico Social) pour faire front ensemble contre la maltraitance qu’on nous infligeait en Silence. » Tandis qu’une partie des récalcitrants à cette injection en phase expérimentale se faisaient suspendre sans salaire les mettant dans une précarité immédiate inédite, une autre partie a subi la pression financière et est allée à l’encontre de ses convictions. Dans le silence et la tristesse beaucoup de soignants ont subit l’obligation vaccinale à contre cœur. Certains autres se sont organisés pour contracter le virus, et continuer à travailler avec un certificat de rétablissement. Toutes ces « histoires » ne méritent elles pas d’être mise en lumière, pour éclairer la population, et surtout la jeune génération qui subit cette Politique ?

Nous avions besoin de créer des actions communes et coordonnées : juridiques, médiatiques et politiques. Puisqu’on ne nous entendait pas au niveau local, il fallait faire Force tous ensemble, tous départements confondus. Un maillage associatif s’est crée durant ces 6 mois de lutte et de silence médiatique. Nous nous sommes rencontrés, téléphonés, liés, unis pour une même cause. Nous ressentions tous dans nos collectifs respectifs le besoin d’ériger ensemble « une digue » pour protéger nos Droits et la Santé Publique en générale.

Nous avons rapidement constaté que les Soignants n’étaient pas seuls à s’ériger contre cette loi. C’est pourquoi nous avons choisi en Août 2021 le nom de « Collectifs Unis ». Les EMLU ( Etudiants Militants Lycéens Unis) se constituaient et nous avons commencé à organiser ensemble des actions coordonnées. Nous avons ensuite ouverts nos portes aux parents et aux citoyens nombreux aux manifestations et aux réunions. Nous avons répondu à une demande d’unification évidente.

Nous avions tous le même objectif : « Sortir ensemble de cette gestion de crise « sanitaire » maltraitante ».

« Collectifs Unis » réuni aujourd’hui plus de 150 collectifs et associations sur 73 départements (dont la Martinique et la Guadeloupe). Nous avons également quelques syndicats (bases locales) qui nous suivent et nous accompagnent dans nos actions.

Nous grandissons de jour en jour et avons créé des partenariats et des groupes de soutiens pour les soignants. Nous avons crée des groupes de paroles, des groupes de démarches administratives, des actions solidaires pour permettre de palier à la précarité (ex :cagnottes en lignes, aide financière ou au panier par les citoyens ) ainsi que des groupes d’actions juridiques.

Lors de nos manifestations, nous lisons le même discours, car nous avons tous le même but :

 » libérer nos droits »